Antoine Desfretier et quelques “énergie(s) nouvelle(s)”

Jamais seul, toujours en équipe, c’est ce que traduit le projet, en commun, d’Antoine Desfretier, futur candidat aux prochaines élections municipales, en mars 2026. Des allié.e.s chocs, l’actuel magistrat à la Cour des comptes tend à en faire des membres de sa liste en devenir, avec des poids lourds de la politique locale et des personnalités issues de la société civile. Tour d’horizon !

Jean-Marie Joder : Dans sa contribution à ce projet municipal, l’élu municipal, également activiste associatif à l’ONG CCFD-Terre Solidaire et fonctionnaire de l’éducation nationale, entend porter la voix de la jeunesse,actrice manifeste de demain. Par une défense de la plus-value démocratique, l’éducation populaire et les valeurs citoyennes et solidaires, notamment. 

Véronique Mouillet : Vice-présidente à l’ADMR de Chaumont, chargée du pôle enfance et parentalité, elle entend donner un sens à cette simple question : « C’est quoi, habiter sa ville ? ». Par la communication, un meilleur accès à l’offre culturelle et sociale, en rompant l’isolement ou encore en facilitant le retour des mères de famille au travail. Soit, « revoir la ville à hauteur d’enfant [et de parent] ». 

Thierry Alonso : Adjoint chargé de la sécurité et de la vie quotidienne, l’élu municipal entend, par ce soutien au projet, poursuivre son investissement sur ces deux dossiers, en préservant le bon vivre ensemble, qui s’effrite peu à peu. « Chaumont n’est pas à l’écart des problèmes de société », précise-t-il, soulignant les récents actes de délinquance survenus dans la ville (tags “militants”, croix gammées, feux de poubelles ou encore violences à l’encontre des forces de l’ordre, NDLR). 

Emilie François : Pour cette professeure en économie et gestion, en lycée professionnel, également bénévole à la MJC et la Ligue contre le cancer, et musicienne à l’Orchestre d’harmonie de Chaumont, la municipalité est son passé et son présent, et sera son futur. « J’aime le collectif et, par ça, je me retrouve dans le projet d’Antoine [Desfretier] »,confie-t-elle. « Il faut écouter les jeunes et avoir confiance en eux », ajoute-t-elle, en parfaite adéquation avec les composantes humaines du projet. Et ce, en allant plus loin que l’investissement des associations, par la création, notamment, d’espaces d’expression artistique, culturel ou encore militant. 

Jean-Yves Brugnon : Figure locale connue pour son investissement dans le tissu social, à la CIAS, notamment, il entend mettre le social intergénérationnel, du jeune au sénior, au premier plan. En élargissant les dispositifs sociaux, sinon la santé pour les personnes âgées. « Le social doit être l’affaire de tous, quelles qu’en soient les conditions », affirme-t-il. D’où l’importance de mener une politique ambitieuse en faveur de Chaumont Brottes.