Concert et Vocalys(es) !

A l’Eglise Notre-Dame-de-Rosaire, l’association Vocalys a donné son incontournable concert du nouvel an, dimanche 12 janvier, l’après-midi. Signe du passage à 2025, la chorale d’artistes a marqué les esprits en plusieurs parties et en reprises emblématiques. Retour !
Par Al’ Warnet
20…25 et concerto ! A l’Eglise Notre-Dame de Rosaire, Vocalys a donné le ton pour ouvrir la (et sa) nouvelle année, dimanche 12 janvier. Face à une centaine de personnes, la chorale d’artistes a parcouru les temps et les courants pendant les presque deux heures de prestations. Sous un tonnerre d’applaudissements, foi du public, sur une premier acte façon ouverture de bal, parole du président Guy Urschel et de son discours de vœux.
Éclectique… et populaire
Moyennant une progression logique en plusieurs actes, façon pièce de théâtre, sinon opéra, la troupe a performé une série de classiques incontournables devant un public connaisseur. Entre autres reprises incontournables, il y a eu “Le Noel blanc” de Francis Blanche, la Sonate au clair de lune de Beethoven ou encore “Les contes d’Hoffmann”, par Offenbach. Mozart et autres Gabriel Fauré ont également eu leurs lettres de noblesse, Camille Saint-Saëns, aux attaches haut-marnaises évidentes, a eu droit à son introduction.
D’inconnus du grand public en clins d’œil au cinéma, Verdi, Puccini, Haendel et Rossini ont aussi été intégrés dans les prestations du concert du nouvel an de Vocalys. Pour le premier, son “Chœur des esclaves” est un symbole de cinéma, résonnant dans le film “Couleurs de l’incendie (Clovis Cornillac), lors du l’opéra de Solange Gallinato (Fanny Ardant) à Berlin. Le troisième, Haendel, a clairement distingué le libre biopic “Bernadette” avec son “‘Messie”, parce que présent dans la bande originale du long-métrages. De quoi faire le croisement entre les cultures et les arts, rendre un hommage d’une certaine manière aussi.
