A la salle des fêtes, carton plein pour la ‘beaufitude’ bigardienne

A la salle des fêtes, près de 500 personnes étaient au rendez-vous pour le spectacle de Jean-Marie Bigard, vendredi 16 mai, dès 20h30. Pendant 80 minutes, l’humoriste a étalé des sujets cataclysmiques, et a dégoupillé sur diverses personnalités.
La salle des fêtes, à Chaumont, recevait un vieux nom, mais un nom quand même, vendredi 16 mai, dès 20h30. Devant près de 500 personnes, Jean-Marie Bigard a enflammé la scène locale avec son one-man show,n “J’arrête les conneries”. Le tout, pendant 80 minutes et sous un tonnerre d’applaudissements.
Un show qui dégoupille !
Façon cataclysmes, mot qu’il utilise pour chapitrer son spectacle, Jean-Marie Bigard y est allé à balles réelles, sujet après sujet, allabnt jusqu’)à “gueuler ses blagues”. La pensée unique, le féminisme, l’euthanasie, les maisons closes, les pâtes al dente, la disparition du slow, pour en citer quelques-uns. Et tirer, l’humoriste l’a fait. Sur les curés pédophiles, Nicolas Sarkozy, Marlène Schiappa ou encore Marthe Richard. Sous fond de « Félicie, aussi. Al dente, enc**é ».
Niveau punchlines incorrectes et osées, Jean-Marie Bigard en a eu et pas qu’un peu, au cours de son spectacle humoristique. « Le plus dur, c’est le c*l », pour parler de la difficile chasteté chez les curés pédophiles. « Il faut rouvrir les maisons closes », pour éviter les viols. « Non, je ne peux pas. Je garde le sac de ma copine », pour refuser poliment une invitation à danser. Sans compter les clichés autour de la femme, qui n’est faite que pour être belle. Surtout sur papier glacé, comme Brigitte Bardot.

Al’ Warnet
Al’ Warnet est journaliste et contributeur régulier à Chaumont City. À travers ses articles, Aldric met en lumière les visages, les parcours et les histoires qui façonnent la ville. Sa plume sensible et engagée apporte un regard singulier sur la vie locale.
- aldricwarnet@gmail.com
- simplyal80